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LA SEYBOUSE
La petite Gazette de BÔNE la COQUETTE
Le site des Bônois en particulier et des Pieds-Noirs en Général
l'histoire de ce journal racontée par Louis ARNAUD se trouve dans la page: La Seybouse, .
Numéros Précédents:
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2 ,
3 ,
4 ,
5 ,
6 ,
7 ,
8 ,
9 ,
10 ,
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LA SEYBOUSE
Un hymne à notre Journal
T'y as compris ?
Même si c'est pas inédit,
C'est qu'à même original
Comme tit' pour un journal
Pasque d'abord,
Y nous ramène un peu là-bas dessur les bords
D'un oued qu'il est comme une rivière
Qu'y s'l'a coulé toujours fier
Même quan les rameurs
Y te faisaient dessur la course et not'bonheur.
Tu ois, ce tit' comme il est là,
Il est pas venu comme ça,
C'est toute une histoire,
Not' Histoire
Qu'elle s'enfonce loin dedans la nuit des temps
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Et qu'elle revient souvent
Nous rappeler que la vie elle suit son cours
Comme la Seybouse qu'elle coule toujours,
Toujours aussi tranquille
Même si qu'elle a été détournée de Joanonville.
Ce journal qu'il est à nous,
Y faut s'le lire jusqu'au bout
A cause que main'nan
Qu'on l'a, on peut s' trouver dedans
Trace de ceux-là là qu'on s'les a perdus
Des fois totalement et des fois, seulement de vue
Et y nous redonne en plusse l'espoir
Qu'un jour, à de bon, on peut tous se re'oir
Peut-ête pas au bord de la Seybouse
Mais autour d'un " quart Baby* ", le meilleur gazouz.
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*Monsieur Jourdan donnera l'explication ---
Rachid HABBACHI
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EDITO
Chers Amis(es)
40 ans après l'exode des Français d'Algérie, la jeune génération issue de cette diaspora est porteuse de nouvelles espérances que tous les malheurs subit par les Pieds-Noirs n'ont pas réussi à enterré.
Grâce à son particularisme que sont les langages (Pataouète, Tchapourlao, Parler Bônois), l'accent et la mimique gestuelle, les Pieds-Noirs ont réussi une certaine intégration au sein de la communauté française de France.
Mais le plus important, c'est que les Pieds-Noirs, les expatriés, sont empreint d'une énergie, d'un réalisme qui s'expliquent par la transmission par leurs ancêtres des gènes de courage, d'audace et de ténacité, ce qui fait qu'ils acquièrent plus facilement l'expérience professionnelle et humaine sans équivalence au monde.
Le secret de notre vitalité, de " notre jeunesse " réside dans l'espérance.
Elle nous permet de résister contre le découragement de certains jours devant certaines épreuves ou certains échecs. Elle nous empêche de regarder vers le passé pour regretter ce que nous avons laisser derrière nous.
Gardons cette espérance dans notre moi ardent, la jeunesse qui nous pousse et la vieillesse qui se profile offriront toujours la possibilité de réaliser les taches humbles et grandes que nous avons entreprises et qui donnent à notre vie de Pieds-Noirs ce goût particulier qui fait bien des envieux.
Malgré l'ampleur et la grandeur de la tache dont la lourdeur nous incline au découragement, gardons cœur…
Face à l'adversité que nous avons à affronter en raison de notre qualité de Français d'Algérie et par surcroît Pieds-Noirs, ne nous désarmons pas de notre conviction à continuer ce fastueux travail de conservation et de diffusion de notre mémoire. La tache entreprise est immense, elle sauvegardera notre mémoire des pollutions malfaisantes et par nos témoignages enrichira fièrement et utilement nos futures générations.
Certes, il reste encore beaucoup à faire, il faut sans cesse combattre l'adversité, recommencer et ressasser notre histoire, comme nos ancêtres l'ont fait avant nous pour bâtir l'Algérie Française.
Comme eux, ne cédons pas face à cette adversité, ne plions pas devant cette œuvre à accomplir. Encourageons les dévouements. Par de nouveaux contacts, continuons grâce à notre chaîne d'amitié dans l'espérance et l'enthousiasme, sans défaillance avec plus de conviction que jamais, cette mission.
Nos futures générations auront la fierté de clamer que nous les avons aidé à garder cœur et à ne pas oublier.
Je terminerai par cette citation de M. Rémy Fontana parue dans Historia magazine N° 387 en 1973.
" Nous avons apporté d'Outre-Mer nos prières et nos chansons. Nous avons apporté dans nos poitrines le cœur des hommes de notre pays vaillant et vif. De nous même et de notre destinée, nous n'avons compris que ce devoir-là : persister, nous maintenir.
Nous sommes d'une race qui ne sait pas mourir, nous sommes un témoignage. "
Jean Pierre Bartolini -----------
P.S.: A la lecture de cette Gazette et au regard de ce site, vous comprenez l'attachement que
j'ai à la conservation et à la diffusion de notre mémoire. Que vu mon age, 55 ans, je fais parti de la
dernière génération qui pourra travailler pour cette mémoire et donner aux générations suivantes
l'envie de la perpétuer.
C'est pourquoi, j'ai pris l'initiative d'offrir les colonnes de cette Gazette à des personnes qui
se sont proposées ou qui ont déjà apporté une aide par l'écriture de tenir une petite rubrique sur
cette Gazette "La Seybouse".
Et ce mois-ci après l'Ode à la "Seybouse" qu'il a écrit spécialement pour les Bônois et les lecteurs
de cette Gazette vous allez découvrir sur cette Gazette, une nouvelle rubrique "Les Kaoulades Bônoises"
de M. Rachid Habbachi.
Et aussi le récit anecdotique de la Convalescence à Bône de M. Pierre Barisain.
Il est certain que cette liste de personnes n'est pas fermée, que la porte est ouverte et qu'il
serait souhaitable que toute personne qui voudrait contribuer à tenir d'autres rubriques s'y engouffrent.
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QUELQUES BREVES
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LES KAOULADES BÔNOISES
La "Ribrique" de Rachid Habbachi
LE PLUSSE DES KAOULADES BONOISES
Je me retiens depuis longtemps, par timidité mais aujourd'hui, y faut que j'vous dise, j'ai des lettres, peut-ête pas les vingt-six mais je suis au moins sûr d'une chose, je possède le b.a-ba du saouar.
D'abord, pour prouver tout ça, je vais vous parler de Molière et vous dire qu'y fait partie des trente, dedans…. Non, non, vous z'avez rien compris, j'ai pas dis molaire et j'ai pas dis trente deux dents ; j'ai dis Molière et j'ai dis trente, dedans une macadémie que moi j'm'la suis faite en dedans ma tête et ces auteurs, j'vais tous vous les citer.
J'vais les citer et pour pas que je me trompe je vais le faire par ordre alphabestial sinon vous allez me traiter d'alphabête et faire venir la honte à la fugure de ceux-là là qu'y m'ont appris la lettre à Arthur, non, pas le roi, j'ai pas cette prétention, la simple lettre à Arthur française mais, apprise à Bône, elle donne ce qu'elle donne.
Purée dès, dedans le feu d'l'action je crois que je me suis un peu trop avance à cause que, à part Jean-Baptiste Poclain qu'il a, avec un nom pareil, défoncé toutes mes connaissances avec deux liv' que c'est en fait des pièces de thêate : Le rat mort et le chien mort qu'il a réuni en un seul intitulé l'avare, eh ben ! je connais rien d'aut' et j'voulais tricher un peu en copiant mon dictionnaire mais oilà, il est incomplet pasqu' y contient pas les noms propes à croire que les aut' y sont sales.
Main'nan, si vous m'avez pardonné et redonné vot' confiance, je jure dessur la vie d'mes morts et que le bon dieu y me lève la vue des yeux que j'vais tout de suite m'acheter un gros dictionnaire, un cyclope y dit et essayer au plus tôt de complèter la liste de mes macadémiciens.
Rachid HABBACHI
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COMMEMORATION
Du Soldat Inconnu d'AFN
Extrait de "La Voix du Combattant", septembre 2002.
Le 16 octobre 2002, l'UNC célèbrera le 25ème anniversaire de la
translation des cendres du "Soldat Inconnu d'AFN" à la nécropole de ND de
Lorette (et aussi, contre le choix du "19 mars").
Cérémonies à ND-de-Lorette le matin, et à l'Arc de Triomphe, à Paris à 18h.
- a) Le matin : arrivée des autocars à ND-de-Lorette vers 9h.
Organisateur : Jean-Claude Renard, Président de la section UNC de Lille (et
membre de la Garde d'Honneur du Mémorial)
- b) Paris
Les autocars devront se présenter aux péages à 14h30, pour être pris en
charge par des motos de la Police, jusqu'à l'avenue George V (parking av.
Foch).
Rassemblement avenue George V à 16h30, puis remontée des Champs-Elysées
pour la cérémonie de 18h15.
On attend 20 000 participants, et 2 000 drapeaux.
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INAUGURATION
le Carré des "TOMBÉS POUR L'ALGÉRIE FRANÇAISE"
1er NOVEMBRE 2002 : TOUS À THÉOULE !
C'est le 1er novembre prochain que sera inauguré, solennellement, le Carré des "TOMBÉS POUR L'ALGÉRIE FRANÇAISE"
au pied de la magnifique statue de Notre-Dame d'Afrique (12 m de haut) qui domine la Méditerranée, face à l'Algérie…
Ce sont 76 (chiffre hélas provisoire) plaques de lave émaillée, portant le nom de chacun des morts au combat pour l'Algérie française, qui auront été
scellées pour cette commémoration. Avec l'accord très amical de l'Association du Mémorial de Notre-Dame d'Afrique.
Je vous demande instamment de tout faire pour que cette manifestation, qui doit se dérouler dans un grand recueillement, soit une réussite totale :
· Pas de signes politiques : pas d'écharpes d'élus ou autres
· Soyez à l'heure : 10 heures 30 (prenez de la marge)
· Venez avec les drapeaux de vos associations
· Apportez des gerbes ou des fleurs qui s'ajouteront à la gerbe de l'Adimad Sud
· Un grand repas d'amitié suivra cette cérémonie (voir au dos)
Une plaque présentera le Carré de nos Camarades :
ADIMAD* + NOTRE LOGO
"TOMBÉS POUR L'ALGÉRIE FRANÇAISE"
Julien AGULLO, Pierre AOUSTIN, Jean BASTIEN-THIRY, Cdt BAZIN, Guy BENDAOUD, Roger BENDAOUD, Michel BEVILACQUA, Jean-Luc BIBERSON, Ange BIONDI, Pierre BOHN, Paul BOILET, Robert BOISSIERES, Mme BOSC, Jean de BREM, André BURINI, Robert CASATI, Jacques CHAMPION, Dominique CORSO, Gilbert CORTES, Charly DAUDET, Roger DEGUELDRE, Guy DERAUW, René DESCAMPS, Albert DOVECAR, DUBREUIL, Lucien ESCOLANO, Roland ESCRIVA, Pierre ESPINOZA, ESPOSITO, Jean FEIGNA, Jean FOURVEL, Jacques FRIBURGER, Gilbert GAMBA, Georges GARCIA, Roland GARCIA, Paul GATT, Lt GAVALDA, Axel GAVALDON, Jean-Pierre GERMAIN, Georges GODARD, Antoine GUGLIELMI, Robert HARO, Fritz-Karl HEISE, Michel HENDERICKSEN, Lt JACQUOT, André KANDEL, LABATUT, Henri LAPISSARDI, LEBEGUE, Philippe LE PIVAIN, Michel LEROY, Brig. LICHTLET, Sgt-chef LIEGEOIS, Jean-Marie LLOBET, Lucien LOPEZ, Michel MASSENET, Noël MËI, MESLOT, MORERE, Alain MOUZON, Henri NIAUX, Lucien PALANGIAN, Henri PENY, PEROPADRE, Camille PETITJEAN, Sgt PETROZ, Claude PIEGTS, Claude PULCINA, Jacques du ROUCHET, Sgt SANDOR, Jean-Yves SANTAMARIA, Armand SORIA, Ernest SORIANO, André TURIELA, Marius VIALLA, René VILLARD…
A noter que sur la plaque de présentation le nom de l'ADIMAD ne sera suivi ni de Sud ni de RP car l'ADIMAD SUD tient à associer ses amis "nordistes" à la réalisation de ce mémorial.
J.F. Collin
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MA CONVALO A BÔNE POUR....
Anecdotes de Pierre Barisain
2 petites histoires perso sur Bône. J'étais en convalo pour une jaunisse ( ictère ) choppée en Petite Kabylie, à l'hôtel Miramar si mes souvenirs sont bons, sur la dernière plage à l'Ouest, les Cigogneaux, le Lido étant réservé aux Officiers.
- Un dimanche matin, ayant épuisé les offres du Cours Bertagna que me permettaient les 15 fr par mois de solde militaire comme appelé, je décide d'aller écouter la messe à la Basilique d'Hippone que je n'avais vue que de loin, n'ayant aucun moyen de locomotion. Je crois bien m'y être rendu en bus, et j'assiste à une messe magnifique dans une affluence record. Je reste écouter l'orgue que j'adore; il me change des scies de Gloria Lasso que la radio diffuse, en permanence sous les tentes du régiment, en base opérationnelle. Le temps passe et quand je sors à mon tour de la basilique, toutes les voitures sont parties, comme une volée de moineaux. Il n'y a plus personne, plus de Bus et je me retrouve seul dans la campagne en tenue de sortie de parachutiste, béret rouge et tout le toutim. Je décide donc de rentrer à pied, à travers la campagne puis les quartiers arabes que je connais mal. Je marche donc, seul sur la route, dans le silence de la campagne, quand j'entends derrière moi, le bruit d'un scooter, lambretta je crois. Le pilote à cheveux blancs freine à ma hauteur et me demande, compatissant, où je vais. Il me prend derrière lui, et en route, me demande d'où je viens. Je lui réponds que j'ai été écouter la messe et en particulier, l'orgue que "j'adore" et que je me suis attardé à écouter. Il me répond: " Je suis l'organiste".
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- A la fin de ma convalo, je dois retrouver mon régiment et prend le train Bône - Constantine en seconde puisque comme aspi, je ne voyage pas en première. Sur le quai, j'aperçois la draisine précédée d'un wagon plus ou moins blindé et truffé de sacs de sable; Le train est presque vide et je suis seul dans mon compartiment. Peu après le démarrage, 2 gendarmes ouvrent ma porte, me saluent et me disent: " mon Lieutenant, vous êtes le plus haut gradé du train. vous en êtes donc responsable. Vous allez nous donner vos papiers de façon à remplir les formulaires...". Je suis fort surpris et amusé: " Attendez ! Je suis responsable en cas d'attaque, etc"..." Oui ! mais c'est une simple formalité. Nous nous chargeons de tout !"... " Oui ! mais c'est quand même moi, qui serais condamné en cas de négligence...Vous allez arrêter le train, me donner la composition de la protection et nous allons vérifier ! Sinon je ne signe rien !.." " Les 2 gendarmes, surpris, me saluent et me disent " On ne peut arrêter le train. Nous allons aviser". Je ne les ai plus revus.
Depuis, face à l'Administration civile, j'ai toujours retenu la leçon. Lorsque la Sécu, par exemple, me demandait, verbalement, de prolonger l'arrêt de travail d'un pékin quelconque ou de faire une petite entorse au règlement pour leurs facilités administratives, je demandais toujours un papier écrit et signé de l'Administration. Cela était rare mais a toujours suffit pour enterrer l'affaire.
Pierre Barisain
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MESSAGES
S.V.P., lorsqu'une réponse aux messages ci dessous peut-être susceptible de profiter à la Communauté,
n'hésitez pas à informer le site. Merci d'avance, J.P. Bartolini
De M. Georges Bailly
Aujourd'hui, à propos d'un autre Bônois illustre de ma famille il s'agit
d'Antoine Teddè mon arrière-grand père maternel fils du Docteur. Il
s'engageat dans les Volontaires Bônois de 1870, fut décoré pour avoir sauvé
un compatriote, Matricule N°63, parti avec le capitaine Génova, son nom
était inscrit sur la plaque en bronze appliquée sur la façade des
Ets. Laussat rue des (fameux) Volontaires, voir le passage le concernant dans
Bône Militiaire du Capitaine Maitrot. Il dirigea à Bône la Compagnie de
transport maritime La Touache et fut longtemps secrétaire de la chambre de
commerce. Je sais que bien des monuments furent rapatriés en France par
l'armée, mais je recherche où ils sont jetés, Oh! pardon entreposés. Si
j'avais la chance de retrouver cette plaque je l'achèterai à n'importe quel
prix quitte à manger une alatche (sardine ) avec du rops (pain arabe) le
restant de ma vie.
Que Dieu y vous le fasse bien...
Je recherche également et achéte toute carte postale du peintre caricaturiste HERZIG. (Genre ci-dessous)
Ainsi qu'une pendule qui porterait sur son cadran le nom de mon arrière grand-pére horloger à Bône:
Victor Bailly Bône.
Bien fraternellement G.B. georges.bailly@free.fr
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De M. André Lacroix
Je possède plusieurs centaines de mètres de films 9,5 mm pris à Bône. En effet mon père avait acheté une caméra Pathé Baby en 1935 et il avait filmé pas mal de scènes. Mon frère et moi avons continué. J'ai moi même acheté dans les années 50 une caméra Pathé Webo ce qui m'a permis de faire d'assez bons films en couleur. Bien sur le sujet principal c'est la famille Lacroix, ce qui ne passionnerait pas les foules, mais on doit pouvoir en extraire quelques scènes générales sur Bône.
J'ai appris très récemment l'existence d'une société qui propose la transposition des films sur CD ou DVD ce qui me permettrait plus facilement de faire un découpage et un montage intéressants. Bien sur il y aura un problème de financement. J'ai contacté cette société ce matin par e-mail.
Je suis prêt à participer à un éventuel groupe de travail sur le sujet car je crois pouvoir apporter ma pierre à l'édifice car:
- je suis Bônois
- je suis ingénieur électronicien depuis 1957
- j'ai découvert la micro-informatique en 1972 et j'en en fait ma passion: j'ai quitté le groupe Rhône Poulenc en 1977 pour créer ma propre société spécialisée en études et réalisation de systèmes à microprocesseurs pour le pilotage d'installations industrielles. Je l'ai revendue en 1998 pour prendre, à 68 ans, une retraite méritée.
Je pense pouvoir être très convaincant vis à vis de gens qui refusent de vivre avec leur temps.
Pour finir je vous signale que chaque année, début novembre se tient à Givors (près de Lyon) une "foire à la paperasse" qui est l'une des plus importantes de France. J'y ai déjà trouvé beaucoup de chose, des cartes postales bien sur mais aussi d'autres documents comme une vieille "histoire militaire de Bône".
A bientôt sur le net, Amitiés
A. Lacroix
alx.lacroix@wanadoo.fr
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De M. Jean Pierre Bartolini
Dans le but de faire sur ce site une rubrique linguistique par la création d'un dictionnaire du
parler Bônois, j'accepterai toute aide apportée par l'envoi de mots avec leur explication.
Le Parler Bônois n'est pas une langue régionale et il n'est pas question d'en faire une langue universitaire.
C'est un parler né de la diversité linguistique des habitants de Bône et de leur us et coutumes
à imager une situation, un mot ou une phrase avec la "Syntaxe Bônoise".
Je compte sur vous, parlez en autour de vous et à vos plumes.
Sincéres Amitiés
Jean Pierre Bartolini
jean-pierre.bartolini@wanadoo.fr
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De M. Roux Gabriel
Bonjour,
je suis né à Bône, j'ai 61 ans le 30 septembre et je suis à la recherche d'un copain d'enfance, Roger Donguet. Il Habitait la Ménadia et son pére travaillait aux Chemins de fer
Merci à tous.
M. Roux Gabriel
adresse de courrier - melag@free.fr
Bon anniversaire Gabriel. JPB
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De Mme Géminiani née Patti Geneviève
Je recherche des camarades d'école (Champs de mars ou lycée Mercier) en particulier Monique Spiteri
Merci à toute personne connaissant Monique de m'en informer
Je suis née à Bône et j'ai 62 ans, J'habite à AMILLY (45).
Merci beaucoup
adresse de courrier - laurent.simon20@libertysurf.fr
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De M. Jean Christophe Holuigue
j ai 30 ans et je m'appelle Holuigue Jean Christophe, mon Père Holuigue Georges était militaire à Bone
dans l'intendance et ma mère Benhamza Fatima a rencontré mon père pendant son service.
Ma mère recherche une famille pour laquelle elle a travaillé et qui s'apelle la famille Sellano
(je ne suis pas sur de l'orthographe). Les Sellano seraient des grands entrepreneurs à Bone
et ma mère en garde un bon souvenir. Pourriez vous nous aider.
Merci d'avance
Jean Christophe Holuigue - danholuigue@burette.fr
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RUBRIQUE : FABLES et RECITS
Envoyé par A. Gabard
Envoyé par M. Dalaut
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