- Je vis dans un pays où l’hymne national est sifflé
lorsque notre équipe nationale de foot joue à domicile par des gens issus de
l’immigration.
- Je vis dans un pays où ces mêmes gens touchent des
allocations familiales, ainsi que de nombreuses aides sociales.
- Je vis dans un pays où ces immigrés mêmes clandestins
sont soignés gratuitement dans nos hôpitaux.
- Je vis dans un pays où les immigrés clandestins
manifestent lorsqu’ils sont mal-logés, ou pour obtenir des papiers.
- Je vis dans un pays où les gens qui portent une
casquette ou un foulard se croient tout permis.
- Je vis dans un pays où un islam radical (anti-occident)
est prêché dans nos cités et nos banlieues.
- Je vis dans un pays où nos policiers, gendarmes et
pompiers se font caillasser et même tirer dessus dans
ces mêmes citées.
- Je vis dans un pays où les patriotes se font traiter de
nationalistes et de racistes.
- Je vis dans un pays que j’aime et où les gens ont besoin qu’on leur ouvre
enfin les yeux
Long est le chemin de toutes les réconciliations…
Des blessures qu’il convient d’entretenir…De Toulon ou Nice
à Béziers en passant par Marignane… Des morts qui ne peuvent pas reposer en
paix.
Une stèle, des dates… Derrières ces dates : la mémoire
d’hommes fusillés, des martyres de l’Histoire.
Au-delà d’eux, les souffrances de combien de familles ?
Blessures toujours ouvertes et l’incapacité à trouver
la paix pour le plus grand profit des
gouvernements qui se sont succédé…
Il n’est pas question de vouloir ré écrire l’histoire. Une
histoire en lettres de sang entremêlé. Une histoire qui a été le tombeau de
combien de victimes innocentes, de toute confession ?
Des hommes se sont levés et se sont battus, se sont
affrontés en connaissance de cause. Ils sont nombreux ceux, de tous bords, dont
la vie a été broyée dans un engrenage infernal.
Tous auraient pu être fils de France.
Mais combien de fois faudra-t-il rappeler que la République
et ses valeurs ne pouvaient pas les aimer ?
Rappel de date que la France officielle veut enterrer,
nier.
Rien n’est pire que le déni pour entretenir les
souffrances. Toutes les histoires sont faites de mensonges et de trahisons.
L’histoire est toujours l’histoire des « vainqueurs » et
elle fait toujours saigner le cœur des « vaincus »…
Le 20 août 1955, le
26 mars 1962, le 5 juillet 1962…
Dans la nuit du 18 novembre 2008, la
stèle célébrant les morts d’Algérie pour l’Algérie française a été enlevée du
cimetière Saint-Laurent à Marignane…
Grue et compagnie de CRS…
Cette stèle avait été érigée en 2005 par l’Amicale pour la
défense des intérêts moraux et matériels des anciens détenus et exilés
politiques de l’Algérie française. (Adimad)
Le 2 décembre 2008 le tribunal de grande instance
d'Aix-en-Provence devrait sur une plainte de l'association pour atteinte à la
propriété privée.
En juillet 2008, une décision du tribunal administratif de
Marseille avait donné quatre mois à la commune de Marignane pour l'enlever,
estimant qu'elle présentait « une dimension politique susceptible de heurter
les usagers » du cimetière de la ville où elle est installée depuis 2005 sans
aucun problème après l’organisation de 30 cérémonies par des associations
patriotiques…
Souhaitant obtenir davantage de garanties juridiques, la
commune avait sollicité le juge des référés du tribunal administratif de
Marseille pour obtenir une décision l'autorisant clairement à démanteler cette
stèle. Le juge l'a déboutée le jeudi 13 novembre 2008 dernier.
’En ce mois
de mars 1962 tu devins un expatrié, un
apatride
L’accueil que tu as reçu de la mère patrie que tu as tant vénérée n’a pas été à
la hauteur !
Alors, si tu déposes une gerbe à ceux qui avaient compris qu’ils
étaient trahis, pense que ton pays est perdu mais que ton honneur reste intact et que tes
enfants doivent être fiers, fils ou
filles de Pieds –Noirs.
Georges Coffinet vient d’être décoré sur la place de Fleury d’Aude.
Mais ce qui lui a réjoui le cœur c’est que sa petite fille a bien voulu
assister à la cérémonie et de plus en tenant le coussin où a été placée la
décoration. Félicitations au récipiendaire et à sa petite fille Estelle.
De même nous apprenons que notre Lulu National vient de recevoir la Médaille Militaire. Nos
félicitations très sincères à Lulu OLTRA
qui a attendu plus de 18 ans pour recevoir cette distinction amplement méritée.
Le voilà pensionné pour 4.52 € l’an! Il ne touchera cette fabuleuse
pension qu’en 2010 !
Il dort dans quelques bibliothèques ou chez quelques bouquinistes un
ouvrage relativement ancien intitulé “STAOUELI”.
Je l’ai raté de peu chez un bouquiniste de PEZENAS, il y a plusieurs
années et
Je n’ai pas conservé le catalogue donc je ne peux citer ni l’auteur, ni
l’éditeur.
Si vous le trouvez, merci de le faire savoir à Robert ANTOINE ou
moi-même.
Pierre
TESTE