Il était un petit pied-noir
Qui logeait dans une babouche.
Marchand du matin jusqu’au soir
La babouche autour du pied-noir
Et le Pied–Noir dans la babouche.

La babouche un jour dit ; Pourquoi
Traîner ce Pied–Noir avec moi ?
Marcher ensemble, quel calvaire.
Il est lourd…moi je suis légère…
S’il voulait libérer les lieux
Seule, je marcherais bien mieux.

Dès lors, la babouche travaille
Pour blesser le pied le  tenaille,
Le comprime, fait tant d’efforts
Que le pied-noir ayant un cor
Et prenant brusquement la mouche
Se retire de la babouche.
Le pied-noir, lui, s’est replié
Bien sûr dans ses petits souliers …
Mais il a poursuivi as route,
Et la plus étonnée sans doute
Fut la babouche qui n’a pas compris, mais, vu,
Que sans petit pied-noir elle ne marche plus.

Par Christian VEBEL

VOICI UN TABLEAU QUI REPRESENTE CENT PERSONNALITES CONNUES. Si vous en trouvez 25 l’honneur est sauf, vous avez la moyenne.

JOYEUX  ANNIVERSAIRE DE TOUS LES AMIS STAOUELIENS, QUI SOUFFLERONT AVEC RIRI  COFFINET  SES SOIXANTE -DIX PRINTEMPS