Voici quelques lettres d'appréciations du site et des malheureux événements qui y sont relatés.Votre courrier reste toujours digne d'intérêt, n'hésitez pas à me faire signe …

            Je suis né en décembre 1949 à Sidi-Ferruch (j'avais donc 12 ans en 1962 quand nous avons dû quitter l'Algérie), mon père est né à Chéragas ( il est enterré à Toulon), je me souviens de Staouéli où habitaient mes grands parents, plus tard nous sommes partis habiter à Belcourt en haut de l'allée des muriers (mon père travaillant à l'EGA...). J'ai parcouru avec beaucoup de bonheur et de tristesse tout ce remarquable travail de mémoire, très objectif, que vous avez commencé de réaliser, même si c'est dur pour nous de revoir, se remémorer tous ces souvenirs, pour ma part je n'arrive pas à oublier et surtout je pense à mes parents et à tous les autres PN et les souffrances qu'ils ont endurées....mais c'est bien de l'avoir fait je pense par respect pour ceux qui nous ont quittés,ceux qui restent et pour les générations qui ne connaissent pas notre histoire.
            Bien cordialement.
            René. GUARINOS

            Cela fait 10j. que, par hasard, je me suis retrouvée sur ton site.
            Tu parles d'un choc!...
            Heureuse au début, curieuse, intéressée, chagrinée, catastrophée, angoissée pour finalement, m'écrouler devant " l'Etranger dans son pays"....hou...que ça fait mal, mal.... !
            Tout simplement te dire MERCI
            A bientôt...
            J. Arnau-Médici

            Roger Fauthoux s'est retiré de notre univers matériel. Celui qui fut pour nous le basket, l'école, Staouëli, demeurera notre guide spirituel, notre maître. Nous éprouvions pour lui respect, admiration, affection ; aujourd'hui, ne soyons pas tristes. Sans nous abandonner Roger Fauthoux n'avait d'autre choix que suivre l'inéluctable voie finale commune. Il a laissé ce monde-ci en nous précédent, tout simplement. Son souvenir nous accompagne, apportant espoir et réconfort. Souhaitons que Poséidon dont il nous parlait si bien conduise ses cendres maintenant déposées sur la nostrum mare, vers le pays qu'il chérissait.
            Norbert Gualde



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