Introduction
Le dossier que nous ouvrons ici n'est pas un cas unique, mais il est dans tous les sens du mot, un cas d'école. On y découvre que la France loin d'être rancunière, favorise la réinsertion des délinquants on leur octroyant un régime de faveur qui est refusé au citoyen moyen qui lui n'a rien à se reprocher.
Les faits que nous relatons, sont couverts par l'amnistie. Cet état de chose à considérablement rendu service à la cohorte d'hypocrites fonctionnaires qui se retranchèrent derrière ce mot pour éluder les questions et éviter de prendre des décisions conformes avec l'honneur, mais en contradiction avec leur avancement. De deux mots, ils ont choisi le moindre. Car le plus grand crime de cette institution ne fut pas uniquement de recaser une " terroriste perdue ", mais de lui confier une mission d'enseignement en relation directe avec les évènements qui la rendirent hors la loi. Elle put donc poursuivre ce terrorisme en douceur, qui a consisté à propager, son idéologie, sa vision des choses et instiller dans les esprits ignorants, les germes de la sédition contre ce pays qu'elle a combattu, qui l'a absout et sur lequel elle a continué de cracher.
Que dire également de toute une frange de la presse servile qui d'ordinaire est capable d'exhiber les secrets les plus intimes en fouillant dans les poubelles des gens qu'elle vise de son index inquisiteur. Elle fut étonnamment silencieuse, gardant profil bas, prétextant également l'amnistie.
Car, relater des faits dans leur vérité la plus criante, des l'instant qu'ils sont réels et non diffamatoires, ne relève pas d'un sacrilège, d'une remise en cause d'un jugement qui n'a pas eu lieu ou d'une disposition résultante des accords d'Evian qui n'ont jamais été respectés, mais simplement de l'histoire contemporaine.

Nombre d'acteurs de cette période algérienne, ont vu leurs noms salis et continuent encore d'être insultés au détour de déclarations diverses, d'actes à posteriori et d'articles malfaisants, sans que la déontologie ne soit jamais évoquée.
Ces personnes bénéficient aussi d'une loi d'amnistie. Serait-elle dans ces cas là, incorrecte voir illégale ou en tout les cas moins respectable ?

Pas d'étonnement cependant, le terroriste Carlos donne bien des interviews et Kadhafi est devenu notre nouveau partenaire privilégié.

Les poseurs de bombes ont un avenir, il suffit pour cela de demander à l'association " SOS attentats " qui depuis des lustres, lutte pour la reconnaissance des victimes et qui malgré un investissement de tous les instants et un courage exemplaire, n'a malheureusement pas obtenu beaucoup de résultats.

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