Depuis plusieurs mois, la campagne anti-armée française - et anti-française tout court - rebondit sans cesse et toute allusion faite à la guerre d’Algérie ou la simple évocation de ce pays est un nouveau prétexte à déterrer des cadavres et à salir notre pays. De nombreux médias, avides d’audimat, relaient et amplifient ces attaques.
Le pire, c’est que ces assauts ne viennent pas de l’étranger mais de nos propres compatriotes !
De guerre ( !) lasse et pour abréger les chikayas, on voit même un juge indemniser l’enfant né d’un viol alors que la mère, principale victime, ne l’est pas…
Est-il question d’indemniser toutes les françaises, musulmanes ou européennes et tous les européens ou les musulmans, enfants à l’époque, qui ont subi les assauts sadiques des ‘’vaillants moudjahiddines immaculés du FLN’’ ?
QUI les plaint ?
QUI se soucie de leur détresse ?
QUI même évoque leur destin ?
A qui peut profiter une telle campagne ?
Ils sont nombreux ceux qui ont tout intérêt à ce que le peuple de France ne sache pas qu’ils ont collaboré à l’ennemi - eux qui se prétendent français - pour faire assassiner les enfants de France.
Ils ont le grave et impérieux souci de travestir la vérité pour se dédouaner en se parant des blanches plumes de la colombe… du pacifisme.
Ce qui est ‘’amusant’’, c’est qu’on nous sert à chaque coin d’écran un laïus sur la Shoa, les salauds de ‘’collabos’’ et sur les tortionnaires nazis mais, quand nous voulons faire savoir ce que les DUFOIX, PASQUA et autres DUMAS - sans parler des innombrables communistes - ont fait durant la guerre d’Algérie, pour soutenir leur ‘’cause’’, là, nos sommes censurés, bâillonnés… Et cela dure depuis 40 ans !!!
On juge le Général AUSSARESSES, mais au passage on implique le Général SCHMITT et ‘’Bruno’’ (qui, soit dit en passant, et toute ‘’grande gueule’’ qu’il est, n’est pas très mordant à se défendre… peut-être porte-t-il un dentier ?) ainsi que la fine fleur de notre Armée.
On agit comme si on ne savait pas qu’en fait, ce n’est pas des militaires qu’il faudrait faire le procès.
Pour certains utopistes angélistes, ces soldats, lorsque le pays est en paix sont ‘’des inutiles et des bons à rien’’ mais ils se métamorphosent soudain, en cas de guerre, en ‘’boucliers de la Démocratie’’ derrière lequel tous ces aboyeurs se réfugient sans vergogne en hurlant - de peur, cette fois.
Il faut faire le procès de la GUERRE ! Et non pas de ceux qui la font ou l’ont faite. Ils l’ont faite pour obéir aux ordres et pour la défense d’un ordre moral dont, qu’on le veuille ou non, nous nous satisfaisons de bon gré ou pas…
Lorsqu’on fait la GUERRE, il faut la GAGNER ! Au plus vite, pour limiter les pertes…
Et, suivant les circonstances, il est vital d’adapter les techniques au type de conflit engagé.
Si demain les bombes des terroristes infiltrés sur notre sol déchiquettent femmes et enfants sur nos places et dans nos rues, il faudra bien que des gens fassent ‘’le sale boulot’’ et ce ne sera pas parmi la meute hurlante des bien-pensants qu’on les recrutera.
Quand à nouveau la paix sera retrouvée, on les vilipendera, ces ‘’exécuteurs de basse-œuvre’’, puisqu’ils seront devenus inutiles… et on recommencera …
Il est vain de tenter de décrire ce qu’est la guerre car elle a mille visages hideux qui changent constamment.
Elle a parfois et heureusement des aspects caritatifs qui mettent une note d’espoir dans l’humanité, comme une chandelle dans le noir de la nuit.
Dans la guerre, on s’aperçoit que l’être humain devient méconnaissable, qu’il mute en un fauve cruel aux instincts dévoyés. On y découvre aussi que les héros d’un camp sont les terreurs abhorrées de l’autre camp.
La guerre est inhumaine. Elle exacerbe les instincts animaux qui, s’ils servent à l’homme pour survivre dans ces conditions terribles, déclenchent parfois des explosions de barbarie aussi inconcevables qu’imprévisibles.
La torture fait partie des moyens de lutte en temps de crise car elle permet d’accélérer l’obtention de renseignements qui donneront l’avantage à celui qui les exploitera.
Elle a toujours existé et existera toujours, tant que l’homme sera un ‘’loup pour l’homme’’
Je fais néanmoins une différence entre la torture ‘’utilitaire’’(sic !) et la torture ‘’pour le plaisir’’, celle dont les victimes du FLN sont la preuve irréfutable ! Le raffinement recherché est abominablement inhumain !!!
Les conventions de Genève ont été inventées pour essayer de réglementer la guerre et ses pratiques mais, QUI en contrôle jamais l’application ?
On juge AUSSARESSES, en contournant les lois d’amnistie, pour que la Justice passe ! Soit !
Mais, vous noterez que nos juges font toutefois preuve d’une inexplicable mansuétude envers certains criminels. En effet, pour quelles raisons ne passe-t-on pas en jugement les innombrables collabos et ‘’djounouds’’ FLN réfugiés en France, fuyant le ‘’paradis’’ qu’ils avaient mis au monde dans la douleur et dans l’horreur ? Seraient-ils, eux seuls, dans notre pays, à l’abri des lois internationales qui ont frappé les PINOCHET et les BARBIE ?
Les criminels de guerre FLN pris sur notre sol devraient - en toute équité - être jugés.
A commencer par le premier d’entre eux, le sinistre BOUT’FLIKA.
"Qui ne gueule pas la vérité quand il sait la vérité se fait complice des menteurs et des faussaires". Charles PEGUY