Il y a bien longtemps, le Roi Soleil, Louis XIV disait pour expliquer sa politique : «  La France n’a pas d’amis, n’a pas d’ennemis, elle n’a que des intérêts . »

       Rien ne change sous le soleil et bien fou celui qui mêle sentiments et politique.

       Certes les paroles sont souvent des baumes apaisants pour ceux qui croient aux beaux discours prononcés du haut d’une tribune.

       Les Pieds-Noirs devraient se rappeler d’une simple phrase émise sur un balcon et qui émut tout un peuple.

       Paroles, paroles, emphase, grandiloquence, promesses….
Qu’en a t il été ?

       Du vent, et des morts.

R.A.

Cela fait plus demi-siècle que cette plaque dort dans une remise à Staouéli. Il a fallu la mémoire de Marcel RIERA pour me donner une piste à suivre et, de connaissances en connaissances, nous l’avons redécouverte.

       En recevant ces photos, j’ai eu le même sentiment qu’un découvreur d’antiquités, de la joie mêlées à de la peine…

       Je remercie donc le possesseur de cette relique, sans pour autant donner son nom. Une part de mystère doit subsister, l’important est que nous puissions la montrer.

Jadis, elle était accrochée sur un des piliers de l’église et je présume que de nombreux Staouéliens s’en rappelleront.

       On devait bien ça aux familles de nos poilus.

                                                                                                     R.A.

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Le 11 mai est le jour des retrouvailles des Staouéliens. La journée sera courte, les heures ne feront plus 60 minutes, car il y aura tant à dire … Les pensées iront vers ceux qui ne sont plus là, et les anciens espéreront transmettre une flamme aux plus jeunes, qui devrait perdurer. Jean Sengeissen et son équipe seront heureux de vous rencontrer

                                                                                                         RA

Madame Odile FERRANDO née SUCH nous annonce la naissance de son arrière petit fils LUCAS.

       KYLLIAM est le petit fils de Madame GASTON née FERRANDO et l’arrière petit fils d’Eugène FERRANDO

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       Félicitations aux parents et aux grands parents pour la venu au monde de ces descendants de Staouéliens.

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Marie –Ange LAMINA ( marie.jacques@yahoo.fr,) recherche :
       Je suis née à Staoueli, en 1946 et je suis une des petites filles de Mr Cholbi (le boulanger de Staoueli)
       En regardant le site en 2007, j'ai appris le déces de mon cousin José Sorabella (décédé le 6/02/07, nous nous étions perdus de vue, et je sais pas où retrouver sa soeur ma cousine germaine) Anne Marie Olive qui habite Toulon si ma mémoire est bonne.
       J'ai trouvé une personne qui porte ce nom, mais ce n'est pas elle.
       Si vous pouviez me donner un renseignement la concernant, j'en serais très heureuse.
       Nous habitions Bains Romains où papa était Boulanger lui aussi. Mes  parents sont décédés malheureusement.
       Par la même occasion nous souhaitons (mes soeurs et moi) à tous nos amis nos meilleurs voeux pour cette nouvelle Année 2008, bonheur, joie et santé.
       Par avance merci à vous.
       Mme Sorabella, épouse OLIVES demeurant à A LA VALETTE DU VAR Tel  0494203918

Bonjour,
       Avez-vous les coordonnées de Marcel MONTANER ?
       Sa famille avait une entreprise de distribution de boissons (limonades, bières, ...) à Staoueli.
       Ils avaient repris une activité similaire vers Toulon.
       Dans les années 1957 -59, j'étais avec Marcel en classe de 2^ème et 1^ère au Lycée de Maison Carrée. J'aimerais bien avoir de ses nouvelles.
       Bien cordialement.
       Un P.N. (d'Hussein-dey);

              Gérard MOLINA    molina.ge@wanadoo.fr

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Demain, ou dans quelques jours, je pars vers un pays que je ne connais plus, vers une “terra incognita “ à la recherche de souvenirs qui ne sont peut-être que des ruines. On me dit que le temps des explorateurs du passé n’est pas encore venu.
       Que les rancoeurs ne sont pas éteintes, que la sécurité n’est pas au mieux de sa forme et que c’est folie d’aller où on ne vous connaît plus.
       L’âge de mes artères n’est plus celle de mon cœur, ni de mon esprit, je sens un devoir, une obligation de présenter un dernier adieu aux vieux os de mes ancêtres. Il faut que je fasse mon deuil de tous les moments vécus là-bas, qu’ils soient heureux ou malheureux.
       Est-ce bien, est-ce mal, je n’en sait rien, si je reviens après ce remue–ménage de mon âme, si je revois un ami, si j’entends le même souffle du vent sur la mer, alors je vous ferais part de mes sentiments.

R.A