ADIEU L’AMI…

C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès d’ANDRE MIOQUE.
Tous les Staouéliens se souviennent de ce sportif, grand basketeur et émérite joueur de boules. Il fut une figure attachante de notre village.
Le couple Dédé -Maryse, c’était la bonne humeur et la joie de vivre.
Inséparables depuis plus de 50 ans, ils avaient le cœur sur la main “ car ils unissaient des qualités de convivialité et de sensibilité qui les rendaient extrêmement attachants.
Pour lui dire un dernier adieu, pour témoigner à Maryse tout notre soutien, je ne résiste pas à publier cette photo e ce couple plein de tendresse.

La communauté des Staouéliens, particulèrement dense dans  la région du Var, a rempli l’église de Solies-Pont et a accompagné Dédé à sa dernière demeure.
A son épouse, à ses enfants et petits enfants, à sa famille, nous présentons nos très sincères condoléances et toute mon amitié.

Je remercie Marie –Andrée pour ses gentilles lettres et les documents qu’elle m’a fournis.

Charles SORABELLA

Le dernier coup de fil de Dédé Mioque que j’ai reçu fut celui où il m’annoncait le décès de Charles SORABELLA, un de ses equipiers dans sa triplette.
Il me faisait part de sa peine pour la disparition de son ami, né en 1930 et inhumé à Sainte Eulalie (33560), le 21 janvier 2008.
J’ai vainement essayé de rentrer en contact avec sa famille mais en vain.
Je ne sais si on joue aux boules au Paradis mais avec cette équipe, quand vous entendrez un éclair un peu fort, se sera peut-être un “carreau “ de l’équipe Mioque – Sorabella.
A toute sa famille, nous présentons nos sincères condoléances.

On peut reconnaître de bas vers la gauche :
Ignotis, J. Trani, CHARLES SORRABELLA, A. Bas, J.P. Pilato, G. Aloy, R.Mignano
Au centre ; F. Gomes
En haut M. RIERA, N. Ciancio, A. Serra

Suzanne MERQUEL née ALOS

Evelyne et Anne CAMPS nous font part du décès de leur tante, sœur de Joseph CAMPS,
en date du 8 janvier 2008, à la Garde, à l’âge de 98 ans.
A ses enfants, à toute sa famille, nous présentons nos sincères condoléances.

Albert  ARLANDIS

Encore une figure chère aux Staouéliens. Jeune artisan maçon dans l’entreprise de son père , il avait prospéré.
Puis, dans les années 1958/59, il avait acquis, avec sa sœur, l’Hôtel Bréjard, plage Ouest à Sidi Ferruch.
De retour en France, Albert créa un restaurant nommé le  Méditerranée “ les pieds dans l’eau sur la plage à Six Fours.
Atteint de la méchante maladie du siècle, Albert s’est éteint le 30/01/2008 à Six fours,  à l’âge de 79 ans.
A sa femme, ses enfants et petits enfants nous présentons nos sincères condoléances.