Tract écrit et distribué le 2 février 2002 par M. Claude Troïse de la Fondation Méditerranéa
D’après un rapide sondage, tous ici présents, appelons de nos voeux la mise en place d’une organisation pour agir efficacement tant sur le plan des réparations morales que matérielles.
Reconnaissons que notre capacité due à la désunion qui a servi nos adversaires nous prenant pour des « cons » (entre autres : réception de Boutéflika, stade de France, plaque en l’honneur du FLN,,,) nous révolte.
Il n’est pas concevable qu’ayant tous les mêmes objectifs, nous fassions perdurer des querelles de personnes. Il faut le dire sans équivoque, une désunion persistante cacherait mal le visage d’un « Judas aux 30 deniers » !
Si par malheur, il ne devrait pas en être autrement au cours de cette journée - Historique d’une manière ou d’une autre - notre Communauté en subirait le discrédit. Si jusqu’ici la désunion pouvait apparaître comme une erreur, elle sonnerait désormais comme une trahison, une sorte de « crime contre la Communauté » susceptible de conduire à rendre des comptes...
Il est vrai qu’un tel scénario semble impossible au regard de tout ce que nous avons vécu ; le combat que nous avons unanimement mené, peu ou prou, aux accents vibrants de la « Marseillaise », des « Africains » et des « 5 notes inoubliables » doit nous faire craindre des insulteurs, des spoliateurs et des démolisseurs de la France !
Quel bel hommage, alors, rendu aux victimes des bestialités FLN, aux hommes et aux femmes qui ont fait le sacrifice de leurs liberté, de leur vie ; quel bel exemple légué à nos enfants qui subissent déjà une montée en puissance des affres de « l’anti-France ».
En tant que Pieds-Noirs, c’est à dire en tant que Français, nos revendications relèvent d’un combat politique devant s’inscrire aussi dans le cadre élargi de la Sauvegarde de l’Identité Française.
Pour cette mission exaltante, En Avant ! |