Lu, le 23 08 02, dans Liberte Algérie,
pour ceux à qui ça rappellerait un jour de Juillet 1962:
Envoyé par Pierre Barisain
le 10 Août 2002

Alger - Marseille à bord du “Tarik Ibn Ziad”
Journal de bord d’une traversée De Nabila Saïdoun


Immortaliser l’instant

C’est carrément une ville qui se déplace avec ce que tout cela suppose comme logistique sous la vigilance de 120 marins pour un aller-retour de 36 heures.

Vendredi 16 août 2002 :

12h 45mn : l’impressionnant “Tarik Ibn Ziad” largue les amarres pour la énième fois depuis sept années de navigation. Cap sur le port de Marseille avec à bord plus de 1200 voyageurs et 315 véhicules. Au moment de l’appareillage, tous les voyageurs se mettent sur le pont supérieur. Le spectacle vaut le coup d’œil. Alger la blanche s’offre dans toute sa splendeur. Cameras et appareils photos sont de mise. Il faut coûte que coûte immortaliser l'instant . Rihet lebled oblige, notamment pour nos ressortissants algériens établis en majorité en France et en d’autres pays plus éloignés.

Fin de citation.


Imaginez que les malheureux Algériens condamnés à vivre chez les affreux colonialistes soient obligés de rester en Europe...Il faut un dernier souvenir d'Alger la Blanche: ""il faut immortaliser l'instant", dès fois que , comme les pieds noirs en 1962....

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