Nous allons encore "pleurer" et ce n'est pas la caution de Jean-Pax,
d'habitude traité d'extrême droite par les mêmes, qui y changera quelque
chose!
Pour ne parler que d'un: Benjamin STORA, historien!!!! Ils sont déjà couchés
devant l'Algérie et surtout l'Etat algérien, dictature, dilapideur des
richesses laissées par la France, spoliateur y compris de son propre peuple
(où passent les richesses pétrolières et de gaz?. Cela fait partie de
l'extraordinaire mise en place de l'entreprise de "décervélation" que sera
"l'année de l'Algérie" qui sera fêtée l'année prochaine en France. sous la
direction de M. Hervé BOURGES qui a choisi la nationalité algérienne, ce qui
ne l'a pas empêché de gérer et maitriser l'audiovisuel en France.
Que les non Pieds Noirs qui liront ce texte ne croient pas que cela ne les
intéresse pas. Il s'agit de détruire la France. Pas spécialement les PN.
L'article du Monde, tiré certainement de l'argumentation de l'éditeur,
commence par un premier mensonge: " le premier titre de presse exclusivement
consacré à la guerre d'Algérie". Et Historia guerre d'Algérie dont je
possède toute la collection"? Années 70.
• LE MONDE | 16.01.02 | 10h46
QUELQUES jours avant que le principe d'une Journée nationale du souvenir à
la mémoire des victimes de la guerre d'Algérie ait été adopté par les
députés, mardi 15 janvier, le premier titre de presse exclusivement consacré
à la tragédie algérienne, Guerre d'Algérie magazine, a paru dans les
kiosques. Ce bimestriel édité par le groupe de presse Michel Hommel (Télé
câble satellite, Napoléon Ier) veut "évoquer avec un esprit d'ouverture et
sans positionnement partisan une période essentielle de l'histoire
contemporaine". Tiré à 40 000 exemplaires, ce magazine unique en son genre -
une seule publication exclusivement consacrée à l'Algérie avait paru en
1972 - cherche à attirer ceux qui ont vécu, pendant quarante ans, dans le
souvenir macabre de cette "guerre sans nom".
Le débat qui réunit, dès les premières pages du premier numéro, les
historiens Jacques Frémaut, professeur à Paris-IV-Sorbonne, Jean-Charles
Jauffret, professeur à l'IEP d'Aix-en-Provence, et Benjamin Stora,
professeur à l'Inalco, tous les trois membres du comité éditorial, annonce
la couleur : le magazine utilisera la caution de chercheurs reconnus pour
aborder "la question délicate" du passé franco-algérien. Ce faisant, Guerre
d'Algérie magazine entend revenir sur les huit années de conflit (1954-1962)
à travers l'histoire politique du FLN, la vie sociale, les habitudes
coloniales et les épisodes militaires.
Manque de témoignages
"Nous avons pensé que revenir sur la guerre d'Algérie était difficile mais
pas impossible si nous parvenions à raconter les événements avec retenue et
distance", explique le directeur de la rédaction, Christian Castelli.
Révélateur de l'extrême difficulté de l'exercice, le premier numéro de
Guerre d'Algérie magazine accorde peu de place aux témoignages d'anciens
soldats, de victimes ou de dirigeants politiques, malgré l'annonce d'une
"place importante faite aux témoignages des combattants français ou
algériens". Les événements tragiques étant encore très présents et les
polémiques vives, les contributions personnelles restent difficiles à cadrer
:"Certains termes, certains modes d'expression dépassent parfois la mesure",
estime M. Castelli. Lui affirme qu'il n'aurait pas publié, par exemple, le
témoignage du général Aussaresses, qui raconte la torture pratiquée par les
services spéciaux en Algérie entre 1955 et 1957.
Seul le récit du journaliste du Figaro Magazine Jean-Pax Méfret, augure des
témoignages à venir dans le magazine. Il raconte dans un langage de
non-spécialiste le départ des pieds-noirs d'Alger à l'été 1962 : "Les
accords d'Evian qui promettaient paix et sécurité pour tous ne sont que
chiffons de papier. (...) L'armée française ne (...) protège plus [les pieds
noirs]. On les tue devant les soldats", écrit-il. Dans le no 2, le comité de
rédaction devrait avaliser la publication du journal de bord d'un combattant
du FLN, un texte qui rapportera la vie quotidienne d'un homme resté dans les
maquis.